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для настроения
C'est fou, tu te crois à l'abri, Tu te moque du monde, Tu juges avec mépris, Bien trop intelligent pour dans ce piège être pris tu te voiles bien la face et se joue ce qui suit : Aveuglé par l'or sortant de sa bouche, Tu bois ses paroles délicieusement à la louche, Ne vois-tu pas loucher ce fou qui t'éclabousse, De son air aguicheur, et te conte sa soupe, Hey sale fripon, prends donc garde à ta langue, Je suis le chat qui te la mangera, A ce jeu là, tu n'y gagneras pas, Un jour ou l'autre on récolte le bâton, Hey sale fripon prends donc garde à ta langue, Je suis le chat qui te la mangera, A ce jeu là, tu n'y gagneras pas, Un jour ou l'autre on récolte le bâton, Nan, nan ne tombe pas dans le piège, De cet énergumène, Et de ses sortilèges, A trop vouloir entendre ce qui te fait plaisir, Il t'aura bien flatté l'égo mais s'apprête à te nuire, Mmh Mmh, Mais regarde le glousser, Il tâte le terrain, Divise pour mieux régner, Dans son habit de prêtre il clame le vrai dessein, Te contrôle par tes peurs, tu deviendras son chien, Aveuglé par l'or sortant de sa bouche, Tu bois ses paroles délicieusement à la louche, Ne vois-tu pas loucher ce fou qui t'éclabousse, De son air aguicheur et te conte sa soupe, Hey sale fripon, prends donc garde à ta langue, Je suis le chat qui te la mangeras, A ce jeu là, tu n'y gagneras pas, Un jour ou l'autre on récolte le bâton, On a pas pris la peine De se rassembler un peu, Avant que le temps prenne Nos envies et nos vœux. Les images, les querelles Du passé rancunier Ont forgé nos armures, Nos cœurs se sont scellés. Rester seuls dans son coin Nos démons animés, Perdus dans nos dessins Sans couleur gris foncé On aurait pu choisir Le pardon, essayer Une autre histoire d'avenir Que de vouloir oublier. Prenons-nous la main, Le long de la route. Choisissons nos destins Sans plus aucun doute, J'ai foi et ce n'est rien Qu'une question d'écoute, D'ouvrir grand nos petites mains Coûte que coûte. On n'a pas pris la peine De se parler de nous, Nos fiertés tout devant Sans pouvoir se mettre à genoux, Dans nos yeux transparents, Le mensonge sur nos dents, Impossible de le nier Tout le corps l’révélait. Prenons- nous la main, Le long de la route. Choisissons nos destins Sans plus aucun doute, J'ai foi et ce n'est rien Qu'une question d'écoute D'ouvrir grand nos petites mains Coûte que coûte Prenons nous la main Le long de la route, laisser vivre la vie Glisser sans retenir Mais les mots ne sont que les mots Pas les plus importants On y met nos sens propres Qui changent au gré des gens C'est con, ce qu'on peut être con A se cacher de soi-même, C'est con, ce qu'on peut être con Car l'autre n'est que le reflet de ce qu'on se met à couvert. Si nos schémas ancrés veulent bien ne pas nous figer C'est le début de nos rêves Qui tendent à se confirmer C'est con, ce qu'on peut être con A se cacher de soi-même, C'est con, ce qu'on peut être con Car l'autre n'est que l'reflet de c'qu'on s'met à couvert. C'est con, ce qu'on peut être con A se cacher de soi-même |
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